Il n’y a pas un jour sans que les médias ne parlent des nouvelles tendances de beauté et de mode. Donnant lieu à de nouveaux métiers, parfois certes éphémères. Le principal étant que ce secteur de l’économie déjà très chahuté tente de sortir la tête de l’eau et d’innover.
Actuellement, on assiste à un véritable boom des bars à ongles et autres instituts de beauté. Les esthéticiennes spécialistes du gel UV IBD ou encore des différents soins, sont de plus en plus nombreuses à s’installer à leur compte pour ne plus répondre d’un employeur. Parmi les nombreuses étapes à réaliser avant l’ouverture d’un tel institut, il est primordial de se renseigner sur les diverses structures juridiques disponibles. Pour ce type d’entreprises, quelle structure juridique choisir ?
Les différentes structures juridiques existantes
Différents types de structure juridique existent aujourd’hui. Les plus connues sont l’entreprise individuelle (EI), l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (l’EURL), la société à responsabilité limitée(la SARL), la société anonyme (la SA), la société par actions simplifiée (la SAS) et la société en nom collectif (la SNC).
Certaines questions doivent donc être posées pour pouvoir choisir laquelle sera la mieux adaptée.
Ouvrir seul ou avec un associé
Tout d’abord, vous devez définir si vous souhaitez vous associer. Certaines sociétés comme la SNC ou la SARL comportent au minimum deux associés. Si vous désirez ouvrir seul votre entreprise, ces deux types sont donc à proscrire. La SA (société anonyme) n’est absolument pas adaptée à l’ouverture d’un institut de beauté puisqu’elle nécessite un minimum de sept associés.
Capital à investir
Vous devez également définir le montant du capital que vous souhaitez investir. La plupart des structures hormis la SA ne nécessite pas un capital minimum et peut être librement fixé par les différents associés.
D’autres points importants
Un autre point important à prendre en considération est la responsabilité du ou des dirigeants. Votre responsabilité doit être limitée si vous ne souhaitez pas qu’on saisisse vos biens en cas de litiges. Si vous êtes mariés sous le régime de la communauté entre autre, privilégiez des sociétés qui limitent vos responsabilités.
Veillez également à bien regarder à quel régime social et fiscal vous appartiendrez.
Source : www.business-b2b.fr
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