L’identification du chien et du chat est un critère que tout propriétaire doit remplir pour pouvoir accéder à une assurance santé pour animaux de compagnie. Prévue par la loi, elle a pour but d’empêcher l’abandon des animaux, mais également d’en empêcher le trafic. En outre, cela permet également de faciliter la recherche en cas de perte, de vol ou même de fuite.
Quelles sont les différentes méthodes d’identification ?
Il existe deux formes d’identification du chien et du chat. D’une part, le tatouage, qui consiste à inscrire un numéro d’identification est composé de chiffres et de lettres sur l’animal. Pratiquée par des tatoueurs agréés, l’opération se fait sous anesthésie générale. D’autre part, l’identification peut se faire par implantation sous-cutanée d’une puce électronique pas plus grosse qu’un grain de riz. Se posant sans anesthésie, l’opération est totalement indolore. Pour mieux comprendre ce procédé, suivez César et Félix. Le numéro est par la suite enregistré dans le fichier national d’identification des carnivores domestiques.
Pourquoi privilégier l’identification par puce électronique ?
La puce électronique s’avère le moyen le plus pratique pour identifier un animal domestique. En effet, il est plus facile de mettre à jour les numéros d’identification contenus dans la puce en cas de cession ou de déménagement. De plus, le tatouage n’est pas reconnu partout comme mode d’identification d’un animal. Par contre, si vous comptez voyager hors de l’Hexagone, la puce électronique est le meilleur choix. Pour ce qui est de son éventuel effet indésirable sur l’animal, il n’y a aucun risque, car le dispositif est biocompatible et ne contient aucun système magnétique ni électrique.